dimanche 28 août 2016

L'appel de Jésus, le bon berger, à ses pasteurs.

J'ai soif, j'ai soif, j'ai soif d'âmes pour m'aider à paître mon troupeau, car il erre dans ce monde confus et perdu comme des brebis sans berger !

Brebis de mon troupeau, que ma paix soit avec vous. La perte de la foi gagne la grande majorité ; beaucoup de mes fils préférés ne croient plus et mettent en doute ma Divinité. Certains célèbrent le Saint Sacrifice de façon routinière, juste pour accomplir leur devoir. Ce manque d'engagement envers le ministère sacerdotal et mon Évangile fait que beaucoup de mes brebis s'éloignent de la bergerie et en cherchent d'autres là où il n'y a que confusion ; ce qui fait que mes brebis sont prises au piège par le loup.

Malheur aux bergers infidèles qui, connaissant la vérité, la refusent à mon troupeau, parce qu'ils ont déjà leur salaire quand ils arrivent dans l'éternité ! Malheur aux bergers négligents qui, par commodité ou par nonchalance, ne s'occupent pas du bêlement de mes brebis ; je vous le dis, je ne vous écouterai pas non plus quand vous appellerez à ma porte ! Malheur aux bergers impurs qui, par leur impureté, pervertissent mes brebis, car je vous assure qu'en ne se repentant pas, le feu de l'enfer les attend ! Malheur à tous ceux qui, par leur silence, refusent la vérité à mes brebis, car ils sont également coupables et s'ils ne se réparent pas et ne se repentent pas, ils recevront aussi leur salaire dans l'éternité ! Il y aura des pleurs et des grincements de dents.

Mon peuple périt par manque de connaissance. Où sont les pasteurs ? Où sont les bergers ? J'ai soif, j'ai soif, j'ai soif d'âmes pour m'aider à paître mon troupeau, car il erre confus et perdu dans ce monde comme des brebis sans berger. Levez-vous, bergers, et écoutez ma voix, car je viens vous demander des comptes sur ma bergerie ! Oh, que de négligence aujourd'hui dans mon église, que d'égoïsme ! La charité s'est perdue et mes brebis marchent dispersées sans personne pour les paître. Je suis envahi par la tristesse de voir mes brebis perdues par la faute de beaucoup de mes pasteurs qui marchent plus préoccupés d'être dans les banquets et de recevoir les honneurs de ce monde, que de paître mes brebis.

Je vous le dis, si vous n'avez pas de charité pour mes brebis, je n'en aurai pas non plus pour vous quand vous vous présenterez devant moi. De même que vous traitez mes brebis, de même vous serez traités ; rappelez-vous que tous sont missionnaires par le baptême. Alors, exercez vous aussi cette mission et allez vers les nations, les villes et les villages, en apportant la Bonne Nouvelle de mon Evangile. Ne restez pas silencieux. Parlez à temps et à contretemps et dites à mon peuple : « Le Royaume de Dieu est proche : Le Royaume de Dieu est proche. Préparez-vous, car le retour triomphal de votre Berger éternel est proche. Aplanissez le chemin, car ma prochaine venue est proche.

Ma paix je vous laisse, ma paix je vous donne. Repentez-vous et convertissez-vous, car le royaume de Dieu est proche.

Votre Maître, Jésus le Bon Pasteur.

Faites connaître mes messages, brebis de mon troupeau.