Messages à Anne à Mellatz/Goettingen, Allemagne
jeudi 2 juillet 2015
La visitation de la bienheureuse vierge Marie.
Renouvellement de l'étang dans l'après-midi dans la chapelle de la maison de la Gloire à Mellatz. Le père Kentenich parle par l'intermédiaire de son instrument Anne.

Au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit Amen.
Aujourd'hui, le père Kentenich parle du ciel : Moi, le père Kentenich, le fondateur du mouvement de Schoenstatt, je parle aujourd'hui, en ce jour de la visitation de Marie, à ma famille de Schoenstatt.
Enfants bien-aimés de Schoenstatt à Opfenbach/Mellatz, vous êtes particulièrement aimés aussi par votre fondateur, le père Joseph Kentenich. Ils voulaient vous retirer de la branche des mères, mais toi, ma petite Anne, tu as fait cet engagement de fidélité, cette consécration de membre, il y a 24 ans à Schoenstatt, et tu continues d'appartenir à cette famille en tant qu'enfant de Schoenstatt. Toi aussi, ma chère Catherine, tu as vécu cette consécration de membre de Schoenstatt pendant de nombreuses années. Dans de nombreux comités, tu as eu une fonction dirigeante. Tu as fait tout ce qui était en ton pouvoir, et jamais une plainte n'est sortie de tes lèvres. Ils voulaient aussi te démettre de tes fonctions.
Je peux encore comprendre, ma chère famille de Schoenstatt, que vous ayez retiré ces fonctions dirigeantes à mes enfants. Mais en même temps, vous les avez aussi chassés de la famille, bien qu'ils aient donné cette promesse de loyauté envers moi, le Fondateur, et donc envers tout le Ciel. Ils vivent encore aujourd'hui cette consécration de Schoenstatt. Pas un seul jour ils n'ont oublié ce que Schoenstatt leur a donné. Ils n'ont jamais oublié l'amour profond pour la Sainte Mère, Mère trois fois admirable, Reine et Victime de Schoenstatt. Au contraire, les prières de Schoenstatt sont devenues pour eux la norme de la journée. Ma petite Anne n'oublie jamais de prier ces prières le matin et le soir et bien d'autres énumérées dans 'Vers le Ciel'. Aujourd'hui encore, elle m'aime et vient me confier ses soucis. Il se peut que je lui parle du ciel. Qu'elle ait reçu des messages du Père céleste pendant 11 ans n'a rien de dangereux pour le mouvement de Schoenstatt. Elle aurait dû avoir sa place dans ce mouvement sans autre forme de procès.
Oui, ils ont été écartés de tous les groupes du mouvement de Schoenstatt. Même les mères des groupes les ont désavoués. Plus personne ne leur adressait la parole. C'était amer pour mes petits, car ils ont tout donné pour Schoenstatt et pour leurs mères. De nombreuses mères les ont conduites à la première consécration et à la consécration des membres. Elles étaient autorisées à diriger des groupes et, en tant que responsables de district, elles avaient assumé de nombreuses tâches. Ma bien-aimée Katharina a été porteuse diocésaine pendant des années.
Aujourd'hui, en ce jour de renouvellement de la promesse de consécration, je veux donner ce message au Mouvement de Schoenstatt parce que c'est très important, mes bien-aimés là-bas à Schoenstatt.
Je souhaite du ciel que ma canonisation, qui a été initiée à Rome, ne soit pas poursuivie plus avant. Dans ce modernisme, je ne veux pas recevoir la canonisation sur terre de ce faux prophète, le pape François. Je ne veux pas être canonisé sous sa résidence. J'ai rejeté tout modernisme dans ma vie sur terre. On m'a forcé à célébrer le repas de communion à l'autel du peuple dans l'église de l'Adoration nouvellement construite. Ce n'était ni mon souhait ni ma volonté. J'ai été complètement ignoré. C'est pourquoi je suis encore triste aujourd'hui, parce que cette vraie et unique fête du sacrifice n'a pas été reconnue. Ma chère famille de Schoenstatt, il n'y a qu'une seule Sainte Fête Sacrificielle, dans le rite tridentin selon le Pape Pie V, qui a été canonisée. Elle est répandue dans le monde entier.
Ma petite s'est aussi mise à la disposition de moi, le fondateur de la Famille de Schoenstatt. Elle aussi souffre tout pour Schoenstatt. Rien n'est trop difficile pour elle, même aujourd'hui. Et c'est pourquoi je tiens à ce que ce message soit envoyé à ma famille de Schoenstatt et qu'il ne soit pas seulement lu et conservé dans la maison du père Kentenich, mais qu'il soit aussi connu. Je veux sauver la Famille Schoenstatt du déclin de l'Église par le modernisme.
Ma famille Schoenstatt bien-aimée, n'avez-vous pas réalisé qu'une sainte fête sacrificielle ne peut pas être célébrée en direction du peuple et que la communion par la main est une grave offense envers le Sauveur ? Sans crainte, on Le reçoit dans la main, le Fils du Père céleste, Jésus-Christ, et on Le conduit soi-même à la bouche. C'est dans des mains impies qu'on Le reçoit. Seul un prêtre a le droit de tenir cette chose très sainte dans ses mains et de la distribuer dans la communion orale. C'est ce que je désire depuis le ciel, ma chère famille de Schoenstatt. Même là, j'ai encore la fonction de vous sauver. J'ai enduré et supporté beaucoup sur terre pour vous. Cela me fait mal quand cette famille de Schoenstatt ne remplit pas sa mission.
Ma petite, ici à Mellatz, avec son petit troupeau, a déjà fermé le Mariengarten et renouvelle chaque année la promesse de consécration. Depuis 10 ans déjà, ils ont fait cette promesse et ils la vivent comme un exemple pour votre famille.
J'ai été autorisée à vous parler aujourd'hui et je suis reconnaissante à mes petits qui ont tenu bon jusqu'à présent et qui continueront à le faire pour vous à Opfenbach/Mellatz, dans la Maison de la Gloire, que mon petit troupeau a été autorisé à acheter et à habiter il y a 4 ans à la demande du Père Céleste.
Je vous bénis maintenant tous, chère famille de Schoenstatt, depuis le ciel dans la Trinité, le Père, le Fils et le Saint-Esprit. Amen.
Très chère Mère, Mère trois fois admirable, Reine et Victrice de Schoenstatt, vous bénit du ciel et elle se préoccupe de toute la Famille de Schoenstatt. Amen.
Sources:
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